L’avilissement d’Aurore – Partie 10

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Nis 1, 2023 // By:admin // No Comment

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Blonde

Chapitre 15 — L’arrivée de beau-papa

Quelques jours plus tard, restée sans nouvelle de Pierre et de ses amis, la gracieuse secrétaire en profite pour se détendre, même si son séjour à la ferme la hante. Les retrouvailles avec son mari ont été de courte durée, même si l’épouse aimante n’a pas manqué de le satisfaire pleinement, à la plus grande joie de celui-ci.

Mais il doit déjà repartir en stage de préparation intensive. Le vendredi soir, elle reçoit un appel téléphonique. Elle reconnaît immédiatement une voix familière : – Aurore? C’est Gérard! J’ai eu un contact avec Jean-Louis, qui me dit que tu es souvent seule à la maison. Si tu veux, demain soir, je peux passer te tenir compagnie.

On mange ensemble?

Il s’agit de son beau-père, une personne de cinquante-sept ans, grand, bien bâti. Ancien cheminot, récemment retraité, président de nombreuses associations, il reste un homme particulièrement actif et en excellente forme pour son âge. Une moustache barre son visage avenant. Il a toujours un peu impressionné sa bru. Elle se réjouit de revoir une connaissance rassurante et protectrice. Aussi l’invite-t-elle immédiatement : – Parfait! Disons 19h, à la maison! Je vous cuisinerai un bon repas!

Le lendemain matin, elle reçoit toutefois un appel de son voisin : – Bonjour, ma chérie! Tu me manques! Alors, je propose que tu viennes me rendre une petite visite ce soir! 19 h?

L’employée répond, la voix tremblante : – Monsieur, ce n’est pas possible! J’ai mon beau-papa qui vient me rendre visite, à la même heure! S’il vous plaît… pas aujourd’hui…

– C’est fâcheux, en effet! Mais je comprends. Alors tu viendras juste me faire un petit coucou à 18h précises. Nue évidemment! Comme la putain que tu es! Et sur ces paroles étonnement conciliantes, Pivert met immédiatement un terme à la conversation.

Après s’être avancée tout l’après-midi dans la préparation du repas, la Cheffe de service se rend comme demandé chez Pierre. Celui-ci l’arrête dans le hall : – Tourne — toi, les mains appuyées contre le mur et les jambes écartées. Elle sent alors un doigt enduit de salive s’affairer sur son anus. Je vais être enculée, pense-t-elle. A sa grande surprise, il n’en est rien. Mais un suppositoire, suivi d’un second, sont insérés dans son fondement. Attendant patiemment que ceux-ci commencent à se dissoudre, le vicieux voisin reprend la parole : – Je me suis dit que ce serait amusant de tester comment tu vas résister ce soir à tes pulsions sexuelles!

Allez, rentre chez toi!

Ce n’est pas possible, se dit-elle. Le salaud! Mais j’arriverai à me contrôler. C’est la seule façon pour elle de se rassurer un minimum. Arrivée chez elle, la femme se dépêche d’aller s’habiller. Mais déjà le stimulant commence à faire effet. Les pensées un peu troublées, elle opte, presque inconsciemment pour une robe blanche, légèrement transparente, faisant deviner les formes plus qu’elle ne les montre. La tenue se porte habituellement avec des sous-vêtements assortis. Au dernier moment, mue par ses sens qui commencent à s’éveiller, elle décide de ne porter ni soutien-gorge ni tanga. Cela fera certainement plaisir à Gérard, mais il n’aura rien de plus! tente-t-elle de se convaincre, confiante dans l’innocence de sa démarche. A 19h, la sonnette retentit et la fille s’en va ouvrir. Son beau-père l’attend, sur le petit escalier du dehors, un magnifique bouquet de fleurs à la main.

Quand il la voit, si belle dans sa toilette virginale quelque peu suggestive, sa mâchoire en tombe :

– W…W…Woow! bredouille-t-il. Tu es tout à fait splendide, Aurore! Mon fils a beaucoup de chance!

– Merci! rétorque-t-elle, le rose aux joues : – Je suis contente que vous aimiez ma robe! Elle remarque également le renflement naissant dans le pantalon de son Escort Beylikdüzü gentil parâtre.

Après cet accueil des plus délicieux, « beau-papa » est invité par la secrétaire à prendre l’apéro dans le jardin. C’est une soirée douce, aussi s’assoient-ils tous les deux dans le jardin, pour bavarder et boire un verre. La blonde est face au père de son mari.

Elle lève soudain ses jambes de façon à ce que celles-ci reposent sur chacun des deux bords de la chaise. Elle offre ainsi un aperçu de son sexe glabre, qu’elle a rasé il y a moins d’une heure à peine, disant adieu aux rares poils pubiens encore présents sur son mont-de-venus. Incapable de contrôler ses désirs, elle regarde Gérard et ouvre ses cuisses pour lui proposer une vue imprenable sur sa chatte mise à nu.

– Vous aimez ce que vous voyez? demande-t-elle.

– Euh… Oui! bégaie son beau-père.

– Je trouve cela tellement plus esthétique. Et puis, quand je me masturbe, mes orgasmes sont plus longs et plus puissants, ajoute-t-elle, juste pour le provoquer. Puis, sans le quitter des yeux, elle dirige l’une de ses mains vers son entrejambe et commence à caresser son clitoris. Au bout de quelques instants, elle enfonce deux doigts dans son vagin dégoulinant. Elle se baise pendant un long moment, les retire ensuite et, lentement, les suce. Elle se lève alors et dit : – Vous me suivez « beau-papa »? Je veux voir votre bite! Et la sentir en moi! Je suis sûre que vous en avez envie!

Dès qu’ils sont à l’intérieur de la maison, dans le salon, Aurore lance une musique sensuelle et commence à faire un numéro de strip-tease. Elle est bientôt dénudée, coquine et resplendissante : – Allez, Gérard! Je vois que votre queue déchire votre pantalon. Relâchez la pression et faites-la sortir! Déjà elle lui enlève ses habits, en proie à une excitation frénétique. En quelques instants, tous deux sont dévêtus. La blonde est heureuse de constater que son beau-père est bien monté.

Mieux que Jean-Louis! se dit-elle, lorgnant le sexe long et gros…

Sans plus attendre, elle fait lentement glisser sa bouche autour de cette mentule imposante. Puis elle utilise une main pour masser les couilles et pompe la pine de haut en bas, sur toute sa longueur. L’excitation de « beau-papa », sucé par l’épouse de son fils, est trop forte et après moins de dix minutes, il s’écrie : – C’est trop bon! Arrête tout de suite! Je vais… Je vais venir… Aaaaaah… Je jouis!

Sa bru ne change même pas de rythme quand elle commence à avaler la charge de foutre, alors qu’elle garde la pine dans sa cavité buccale pendant que le pieu de chair gicle massivement. Toujours sous l’influence de l’aphrodisiaque, elle poursuit sa pipe pour redonner vigueur au membre englouti et s’empaler ensuite sur la queue. Elle se met à onduler comme une folle. Son beau-père a du mal de se retenir.

L’employée est terrassée par une jouissance si forte que son parâtre a soudain la sensation que son chibre va exploser et se briser, tellement les contractions vaginales sont extrêmes. En quelques instants, trois orgasmes intenses la submergent…

Elle arrête alors de bouger, regardant Gérard droit dans les yeux. Minaudant, elle l’interroge et l’invite à un autre voyage : – J’ai envie d’être enculée. Cela vous dirait, beau-papa?

– Oh oui, bien sûr!

– Qu’est-ce que vous attendez alors?

L’homme, après avoir émis une forte inspiration, commence à forcer l’entrée du paradis.

– Ooooh… Mmmh… Vous me baisez le cul… Ne vous arrêtez pas avant d’avoir tout rentré!

Son beau-père a vite réussi à trouver le bon rythme en allant et venant entre les fesses de sa bru. Cette dernière entreprend de se frotter le clitoris, avant d’être la victime consentante d’un spasme démentiel. Elle s’effondre vers l’avant Beylikdüzü Escort Bayan et reste allongée un moment, reprenant son souffle. « Beau-papa », lui, se retire, tandis que du sperme s’écoule lentement de l’anus de la femme de son fils. — Je vais prendre une douche pendant que vous récupérez! annonce-t-elle, perverse.

Environ 20 minutes plus tard, elle redescend les escaliers, enveloppée dans une simple serviette de bain : – Vous êtes prêt pour un deuxième round? Tandis que Gérard s’assied sur le canapé, elle l’enjambe et insère directement la pine dans sa chatte.

Elle roule ses hanches doucement, appréciant la sensation d’être remplie. Elle se penche ensuite en avant, mettant ses seins devant le visage de son beau-père, avant de gémir, en proie à une luxure sans limite. Sa jouissance est tellement incroyable que le père de son époux libère, pour la troisième fois, une charge de foutre.

Emportée par des besoins sexuels compulsifs, la nymphe débute une nouvelle fellation sur la bite exposée, pour la ramener à la vie, mais le quinquagénaire est désormais trop épuisé.

Partageant pour la première fois une nuit avec sa belle-fille, il s’endort à ses côtés dans le lit conjugal. Il est réveillé au petit matin par la bouche, et surtout par la langue, d’Aurore. Cette dernière s’escrime sur la queue afin de la faire durcir rapidement.

La matinée s’annonce chaude…

Epilogue

Durant les mois qui suivent cet épisode, « beau-papa » ne manque pas de faire de sa bru son parfait jouet sexuel. Elle aime le sucer souvent et durant de longues minutes.

Chaque pipe dure en moyenne plus d’une demi-heure, Gérard exigeant d’elle qu’elle l’excite longuement, mais sans jamais le faire éjaculer. Dès que le moindre soubresaut s’annonce, elle doit marquer un temps d’arrêt avant de reprendre ses activités buccales. La vie sexuelle de la Cheffe de service est désormais centrée sur le plaisir de son beau-père. Celui-ci, récemment veuf et profitant de l’influence qu’il a sur son enfant Jean-Louis, a en effet proposé à ce dernier de s’installer à demeure, dans la chambre d’amis, afin de veiller sur son épouse tandis que le sportif multiplie les entraînements et les stages de préparation en vue d’une qualification pour les prochains Jeux Olympiques. Le parâtre a tout le temps de s’occuper longuement de la mariée. Aurore voit ses journées désormais parfaitement réglées : à raison de trois fois par semaine (les lundis, mardis et jeudis), le soir, elle est au service de Gérard, satisfaisant ses moindres désirs.

Les soirées du mercredi et du vendredi sont laissées à sa latitude, afin qu’elle puisse passer des moments conviviaux avec ses parents ou ses amis. Elle est par ailleurs plus que reconnaissante à « beau-papa » d’avoir mis fin à ses tourments. En effet, quelques semaines après le début de leur liaison torride et s’être confiée sur les tourments subis, la blonde a la joie d’apprendre que son beau-père s’est rendu chez Pierre, le voisin, et qu’il est désormais en possession de l’ensemble des photos prises et des vidéos tournées non seulement par Daniel Guérin, mais aussi par Pivert et ses copains. Décidément, sa naïveté est vraiment sans limite…

Un minimum de réflexion lui aurait sans doute permis de prendre conscience du dialogue survenu entre Gérard et son complice Pierre : – Tout s’est passé comme prévu!

– Bien sûr, mon pote! Quand je t’ai sonné pour te prévenir qu’un politicien m’avait donné des photos et des vidéos pour que je puisse faire chanter Aurore, j’ai préféré te prévenir tout de suite, au nom de notre vieille amitié. Quand tu m’as annoncé que cela t’arrangeait bien, je suis rentré dans le jeu, comme tu le souhaitais! L’ensemble du matériel ayant servi à notre petit chantage et à l’avilissement Beylikdüzü Escort de ta conne de belle-fille est ici, répond le riverain, en tendant à l’ancien cheminot une grande caisse en carton : – Voilà tout le matos! Les DVD, les clichés numériques. Si elle se rebelle, tu as de quoi la tenir! C’est du lourd, du vrai porno!

– Comment te remercier?

– Bah… je te devais bien cela. Tu te souviens : tu m’as rendu un très grand service il y a quelques années! On dira donc que c’est un prêté pour un rendu. Et puis, je me suis bien amusé!

– Cela te dirait de continuer à te divertir une fois par semaine, le samedi matin?

– Oui, bien sûr, Gérard!

– Alors, marché conclu!

Après avoir expliqué à Aurore que c’était le prix à payer pour que Pivert garde le silence, celle-ci doit donc se rendre de manière hebdomadaire chez son voisin. Le rituel est toujours le même : après l’avoir rejoint, dans la tenue exigée par le sexagénaire, ce dernier la soumet, durant deux heures, à une intense séance de baise « hard » et de sadomasochisme. Fouettée, cravachée, attachée, pénétrée par d’énormes godes, obligée de supporter des pinces accrochées à ses tétons, elle est la victime consentante des perversions de Pierre. Même si elle a du mal à se l’avouer, désormais habituée à ce type de pratique, elle en retire à chaque fois un grand plaisir.

Décidément, se réjouit Gérard, Pierre, l’agriculteur Paul et ses deux fils ont fait du bon boulot!

D’ailleurs, son parâtre, avant chaque session, ne manque pas de lui enfoncer dans l’anus l’un des suppositoires qui lui ont été remis en même temps que le coffret contenant les preuves de la dépravation de sa délicieuse bru. Le stock de « torpilles » aphrodisiaques entre ses mains est d’ailleurs impressionnant, car souvent renouvelé.

Voilà qui promet à ce dernier d’innombrables séances de sexe intense avec cette adorable chienne.

De temps à autre, il décide de faire « un extra » : emmenant Aurore à l’hôtel, l’espace d’un week-end, il ne résiste pas à l’obliger à draguer un homme au bar et à l’entraîner dans leur chambre. Et se faisant passer pour son époux, il se transforme en cinéaste amateur. Il lui arrive aussi, via des annonces ciblées et postées sur internet par des amateurs en quête d’un coup d’un soir, de convenir de rendez-vous.

La blonde est alors possédée, souvent brutalement et toujours devant lui, par des inconnus, de préférence des blacks ou des maghrébins, le contraste avec sa peau blanche laiteuse et celle de ses amants de passage permettant de faire des films « esthétiques ».

Enfin, il lui arrive aussi de l’humilier en la faisant saillir, les yeux bandés, par des mâles en rut qu’elle connaît mais dont elle est ainsi incapable de deviner l’identité. Ce qui génère chez elle une angoisse diffuse, un léger sentiment de souillure, mais aussi une excitation malsaine. Menottée, immobilisée sur le dos ou sur le ventre, cuisses ou fesses écartées, elle a ainsi été baisée et enculée par son garagiste, un collègue partageant le même bureau qu’elle, un de ses amis d’enfance et -déjà plusieurs fois- par le chef d’orchestre de l’Harmonie où elle joue encore de temps à autre.

Et tandis que Jean-Louis enchaîne les sessions intensives en vue des JO auxquels il participera cette année, son père Gérard s’occupe de sa femme, la faisant hurler et crier dans le lit conjugal, dans une chambre d’auberge ou dans un endroit public.

Récemment, « beau-papa », qui a progressivement réduit Aurore au statut d’esclave totalement obéissante et soumise, lui a parlé de son projet d’écrire un livre. Aujourd’hui, cet ouvrage est terminé et raconte de manière détaillée toutes les expériences sexuelles vécues par sa charmante belle-fille. Il pensait l’intituler, en référence aux contes orientaux des « Mille et une nuits », les « Cent et une bites ».

Il s’est finalement ravisé, préférant lui donner un titre renvoyant indirectement au célèbre Marquis de Sade : « L’avilissement d’Aurore ».

C’est le présent texte libertin que vous venez de lire…

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